Défoncée dans les bois par un black

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il y a 6 ans

Défoncée dans les bois par un black

J’étais invité à une petite fête qui se tenait dans une résidence secondaire isolée dans un bois. A mon arrivée j’eus l’agréable surprise de constater que Christelle et son mari était aussi conviée à cette journée. Malgré le fait qu’elle soit mariée ou justement à cause de cela, Christelle était depuis longtemps pour moi un fantasme qui était resté jusqu’alors inaccessible. Je ne pus donc m’empêcher de la contempler, plutôt de l’admirer dans son ensemble. Elle était toujours aussi belle, une chevelure légèrement rousse, 1m65, une poitrine superbe 100 B, un corps magnifique dans un tailleur strict et des escarpins terminant ses jambes gainées de noir.

La voir ainsi habillée me promettait une fois de plus un flot d’idées que j’imaginais alors irréalisables. La journée se déroulait sans aucun problème en s’agrémentant de petits contacts plus ou moins marqués à chacune de nos discussions. Ces simples contacts me procuraient un plaisir immense qui ne faisait qu’augmenter mon désir.

Je pensais donc que cette journée allait se terminer comme toutes les autres, c’est à dire sans aucune chance de concrétisation, jusqu’au moment ou j’aperçus Christelle sortir de la maison. Je décidais alors de la suivre sans trop savoir ce que cela pourrait amener. Elle commença à suivre le chemin qui s’enfonçait dans le bois et je la suivis à bonne distance quelques minutes avant de me décider à prendre les choses en main.

Or, au moment où j’allais me rapprocher d’elle, je vis surgir un homme des frondaisons et attraper Christelle d’une main ferme en la bâillonnant avec l’autre. Ainsi bloquée elle ne pouvait pas bouger ni se débattre. Remis de ma surprise, j’observais cet homme. Il était noir, visiblement fort et revêtu d’habits de chasse. Il entraîna Christelle dans le bois et je les suivis sans me faire remarquer jusqu’à une " tour " de guet destinée à la chasse auprès de laquelle était garée une voiture. Là, toujours sans mot dire et me prouvant que son affaire était préméditée, il prit une corde et attacha Christelle face à un poteau sans que celle-ci ne dise un seul mot tellement elle était pétrifiée. C’est alors qu’il prit la parole.

" Ca fait 5 heures que je guette une proie alors comme je n’ai rien pris, j’ai décidé en te voyant que tu allais me permettre d’occuper les quelques heures restantes. Comme je ne supporte pas être bredouille, tu vas devoir compenser et donc supporter tout ce que j’aurais envie de te faire… sans aucune exception. "

A ces mots, Christelle le supplia de la relâcher et de la laisser partir. J’étais certain qu’elle était prise de panique car je savais après en avoir discuté ensemble plusieurs fois que, parmi tous ses fantasmes, Christelle rêvait de se faire prendre par un Noir. Tout cela n’était jusqu’alors resté que dans le domaine du fantasme tout comme l’envie de se faire prendre par un autre homme que son mari ou encore par 2 hommes en même temps. Dans les 2 cas, à chaque discussion sur ce sujet, j’aurais adoré oser lui proposer mes services mais…

L’homme reprit la parole.

" Pourquoi veux-tu partir, je suis sûr que tu as toujours rêvé de te faire sauter par une grosse bite noire. "

Sur ces mots, il descendit son pantalon, son caleçon et offrit aux yeux de Christelle une bite d’un noir d’ébène de bonnes proportions. Je me pensais correctement membré mais cette bite, certes moins grosse et large que la mienne faisait à vue d’œil 5 bons centimètres de plus, c’est à dire 25. Cette vision fit radicalement changer le regard de Christelle. L’homme poursuivit.

" Imagine ce joli manche noir dans ta belle chatte blanche. Cela va avoir le plus bel effet et je te laisserai admirer autant que tu le désireras. Qu’en dis-tu ? "

A ma grande surprise (est-ce vrai ?), je vis Christelle acquiescer et demander à cet homme de la détacher, ce qu’il fit immédiatement. Une fois libre, il se rapprocha encore plus d’elle et commença à la déshabiller. Il commença par lui ôter son haut de tailleur et son chemisier ce qui fit apparaître sa généreuse poitrine. Ses seins enfermés dans leur soutien-gorge pigeonnant semblaient prêts à faire exploser le tissu pour se libérer de ce carquois. L’homme dut penser la même chose si bien qu’il détacha le soutien-gorge ce qui eut pour effet d’offrir à notre vue à tous les deux des seins fermes et qui ne demandaient qu’à être caressés ou qu’à caresser… L’homme les prit dans chacune de ses mains et commença à les caresser et à les embrasser. Réceptive à ces caresses, Christelle donnait des signes d’excitation très poussés. Elle ondulait du bassin et poussait de petits cris à chaque fois que ses tétons étaient mordillés. L’homme, voyant que ses gestes produisaient leur effet, se mit à genoux devant Christelle et déboutonna sa jupe qui glissa à ses pieds. Là, quelle ne fut pas ma surprise lorsque je vis que Christelle, sous sa jupe, non seulement ne portait qu’un porte-jarretelles et des bas noirs mais qu’en plus son sexe était totalement rasé. Cette vision me provoqua une érection quasi immédiate.

L’homme qui était resté muet jusque là reprit la parole.

" Eh bien ma petite salope tu avais prévu de t’amuser aujourd’hui à ce que je vois. Ecartes tes jambes ".

Christelle obéit presque immédiatement à cet ordre et offrit ainsi sa chatte à l’inconnu. Il commença par lécher Christelle au niveau du ventre puis descendit doucement vers son clitoris pour terminer au niveau de sa chatte. Les gémissements que poussait Christelle me laissaient penser que la langue de l’inconnu s’introduisait régulièrement le plus loin possible dans son vagin.

Après quelques minutes de ce plaisir buccal, l’inconnu releva sa tête et remplaça sa langue par un doigt. Celui-ci s’enfonça sans aucun effort dans cette chatte toute mouillée si bien qu’il put immédiatement être suivi d’un deuxième puis d’un troisième. Ces doigts s’activèrent alors sous les commentaires de l’homme.

" Alors ma salope, tu mouilles. Tu les sens bien. Rassure-toi, ce n’est qu’un début. Je vais bientôt te défoncer comme jamais tu ne l’as été et par tous les trous. Tu as l’air d’aimer ça d’ailleurs, te faire mettre par tous les trous. "

A ces dires, je pus remarquer que l’homme avait introduit deux doigts de son autre main dans le cul de Christelle et il continuait ses va et vient. Elle jouit une première fois.

" Tu aimes ça te faire enculer ? "

" Oh oui, mais je préfère quelque chose de plus gros " répondit-elle.

Je n’en croyais pas mes oreilles. Certes nous avions déjà parlé de nos diverses expériences respectives et je savais bien que Christelle aimait se faire enculer, mais je découvrais devant moi une Christelle toute nouvelle qui me plaisait de plus en plus.

" Et te faire prendre par les deux trous tu aimes ? "

" Hum, j’aimerais mais je n’ai jamais eu l’occasion. J’en rêve tout comme me faire sauter par un autre que mon mari. " Ajouta-t-elle.

" Ne t’inquiète pas, ce deuxième vœu va bientôt se réaliser ".

L’homme se releva, se positionna devant Christelle et se déshabilla entièrement. Christelle ouvrait des yeux énormes et n’arrivait pas à détacher son regard du pieu énorme qui allait bientôt la défoncer.

" Maintenant, mets-toi à genoux et suce-moi " dit-il.

Cette phrase me fit aussitôt réagir car je savais que Christelle détestait tailler des pipes même à son mari. Je sentais qu’il allait y avoir un problème. Au contraire, en étant tout à cette pensée, je vis Christelle se baisser, prendre le mandrin noir dans ses mains et commencer à le branler. Une fois décalotté, elle approcha sa langue et le lécha consciencieusement avant de le prendre en bouche sur la plus grande longueur que sa bouche lui permettait. C’était merveilleux, je voyais ma meilleure amie pratiquement nue, avec la lingerie que je préférais et en train de sucer une énorme bite noire. Voir cette masse noire disparaître dans sa si jolie bouche blanche m’excitait de plus en plus si bien que je sortis ma bite déjà bien raide pour me branler. Me branler oui mais doucement car je sentais que cela n’était pas fini et que j’allais voir Christelle comme jamais je ne l’avais vu.

Elle de son côté ne perdait pas de temps et branlait le pieux noir de plus en plus vite.

" Oh, doucement ma garce, mon premier jus tu l’auras dans ta chatte, pour ta bouche on verra seulement après que j’ai inondé ton cul. Relève-toi. "

Apparemment, l’homme comptait l’utiliser jusqu’au bout et vider ses couilles dans tous ses trous. Une fois debout, Christelle fut soulevée par les bras puissants et allongée sur le dos sur le capot de la voiture. L’homme lui leva les jambes et les plaça sur ses épaules. Il approcha ensuite sa bite de la chatte totalement offerte et colla son gland aux lèvres toutes mouillées.

" Accroche-toi bien car tu vas la sentir passer. Je te le la mettre au fond et te limer comme jamais tu ne l’as été. "

Il attrapa Christelle aux hanches d’une main, laissa son autre main sur sa bite pour la guider et d’un mouvement puissant et rapide lui enfila la bite dans la chatte d’un seul coup. Après ce premier avant goût, il commença à la limer consciencieusement mais avec force. Toutefois sa bite était tellement longue qu’il ne parvenait apparemment pas à lui mettre jusqu’à la garde. Même si elle n’était pas défoncée par la totalité des 25 cm, Christelle poussait des gémissements à chacun des va et vient et même des cris à chaque fois que l’engin lui bourrait le fond du vagin. Elle jouit une deuxième fois tout en continuant à faciliter la pénétration de l’inconnu. Ses seins allaient et venaient à chaque assaut. A première vue, elle adorait ça et ses mouvements de bassin semblaient en réclamer encore plus.

" Tu es un petit gabarit, regarde, je n’arrive même pas à te la foutre toute entière. Apparemment ça a quand même l’air de te faire du bien. Imagine ce que cela va donner quand tu l’auras toute entière dans le cul, tu vas te faire littéralement ramoner. "

Christelle, toute dans son bonheur, releva la tête pour admirer cette belle bite noire qui lui défonçait la chatte. Elle se mit alors à encourager l’homme.

" Vas-y bourre-moi, mets-moi la le plus profond possible. "

En voyant Christelle prendre autant de plaisir, je tentais de me rapprocher tout en me branlant pour voir de plus prêt cette chatte dont je rêvais se faire mettre par ce grand bout de chair noire. C’est à ce moment que Christelle m’aperçut. Surprise mais toujours en transe, elle eut une réaction d’étonnement. Commençant à se calmer, son attitude parut étrange à l’homme qui lui continuait de la besogner sans ralentir. Il tourna alors la tête et me vit la bite sortie et bien raide.

" Et bien voilà, tu vas pouvoir assouvir ton deuxième phantasme en même temps que le premier. On va s’occuper de toi tous les deux et tu vas prendre le double de foutre pour le même prix. Venez, approchez-vous me dit-il et occupez-vous d’elle comme vous le voulez. C’est une bonne salope qui me semble prête à tout. "

Je lui répondis que je la connaissais et que je la désirais depuis longtemps mais que jamais je ne l’avais vue dans cet état, si chienne. Si chienne oui mais si bandante. La voir nue devant moi avec son porte-jarretelles, ses si belles jambes habillées de bas noirs me rappelait tous mes rêves cachés depuis longtemps. En effet, depuis le jour de notre rencontre, je l’imaginais dans cette tenue pendant que je la baisais. Et là, je l’avais enfin pour moi, certes en la partageant avec un autre, mais surtout prête à supporter tous mes assauts même les plus fous.

Après m’être déshabillé, je m’approchais donc d’elle et décidais de lui faire sucer ma bite pendant que je lui peloterais les seins. A peine ma bite fut-elle à hauteur de sa bouche que Christelle la prit en main et la fit disparaître presque entièrement dans sa bouche malgré son gros diamètre. Elle se mit à me sucer comme une folle et surtout comme jamais je ne l’avais été. Pendant ce temps, l’inconnu accélérait ses mouvements et se rapprochait de plus en plus du plaisir ultime. Au moment d’éjaculer, il accéléra à un tel point que Christelle ne put plus me garder en bouche. Elle jouit et se mit littéralement à hurler.

" Tiens, salope, tu la sens bien ta chatte, je suis en train de la noyer avec mon foutre. On va tellement t’en mettre que tu vas dégouliner de sperme de tous les trous. Je vais finir de cracher mon jus sur ton ventre puis ton copain prendra ma place pendant que tu me nettoieras la bite avec ta bouche. Et tu as intérêt à bien sucer car je veux très vite retrouver ma forme pour t’enculer à sec. "

Christelle était sur un nuage. Elle avait des yeux brillants, avait repris sa fellation et pompait sur ma bite comme au début. Elle arrêta lorsque l’inconnu sortit sa bite pour finir de jouir sur son ventre et ses seins. Elle voulait regarder cette bite noire répandre son foutre sur elle et la voir briller sous l’effet de sa mouille. Posée sur son ventre, elle paraissait énorme et Christelle la caressait d’une main pendant que l’autre me branlait. L’homme s’enleva, me laissa sa place, vint se positionner sur les seins de Christelle, les attrapa et les rapprochant de sa bite commença à se branler avec. C’était magnifique de voir cette bite noire apparaître et disparaître dans ces jolis seins blancs. Sa queue était si longue que Christelle pouvait la nettoyer en même temps avec sa bouche. L’homme s’écarta ensuite en se plaçant près d’elle pour me laisser à mon tour profiter de sa chatte.

Laissant Christelle à son régal de foutre et de mouille, je vins me placer entre ses jambes. Je pris ses cuisses gainées de noir en main et je me mis à caresser ses jambes sur toute leur longueur. Ce contact des bas et de la peau de celle que je voulais et que j’allais baiser m’excitait de plus en plus et rendait ma bite encore plus dure. J’admirais dans le même temps sa chatte rasée dégoulinante de foutre. Je pris ma bite en main, je mis mon gland au contact de ses lèvres et je commençai à la branler. Ma bite étalait le foutre de l’inconnu sur tout le sexe de Christelle. Après quelques moments de ces quelques plaisirs manuels qui semblaient lui faire un bien fou, Christelle prit la parole.

" Vas-y, mets-moi la maintenant, bourre-moi, baise-moi, défonce-moi, ça fait si longtemps que j’attends ta bite au fond de ma chatte. "

J’étais sidéré, en une phrase, Christelle venait de me dire que nous avions perdu un temps fou depuis toutes ces années.

" Ne t’en fais pas tu vas l’avoir et pour rattraper le temps perdu, je vais te la mettre de tous les côtés et tu vas tellement aimer que tu ne pourras plus t’en passer. "

Sur ces mots, je lui donnais un coup de rein si puissant que toute ma bite la pénétra d’un coup jusqu’à taper contre le fond de son trou ce qui la fit jouir sans retenue.

" Oui, c’est bon ! Quel morceau, elle est énorme, j’ai l’impression que tu vas me déchirer.

Après une aussi longue bite noire, je ne pensais pas que la tienne pourrait me faire autant d’effet. En fait, je me régale avec la tienne qui me lime encore plus. Baise-moi, vas-y, baisez-moi tous les deux, j’en ai assez de sucer je veux que vous me défonciez par les deux trous en même temps. "

Sans mot dire, l’homme s’écarta, je fis de même et je m’allongeais alors par terre sur le dos. Redressant ma bite comme un piquet, je la maintins pour que Christelle vienne s’empaler. L’homme se positionna alors derrière Christelle, mit son gland directement sur sa petite rondelle sans aucune préparation et commença à pousser sur sa bite pour l’enculer. Enfoncée dans sa chatte, je sentais la longue bite noire glisser petit à petit sur la fine membrane qui la séparait de la mienne. J’imaginais ainsi sans aucun problème ce long pieu noir disparaître dans le cul de Christelle. Une fois bien enfoncés tous les deux, Christelle se retrouva donc empalée sur 25 cm dans le cul et 20 cm dans la chatte, un vrai régal pour elle vu ses gémissements. Nous commençâmes alors à bouger ce qui provoqua une nouvelle fois sa jouissance. Elle avait déjà joui 4 ou 5 fois depuis le début et elle continuait à en redemander. Je l’adorais de plus en plus. Plus nous bougions en elle plus je voyais ses seins aller et venir, ballotter dans tous les sens. Je ne pus alors m’empêcher de les prendre à pleines mains et de commencer à les caresser, à les sucer. Je me régalais de ces énormes masses douces que je rêvais de pouvoir sentir entre mes doigts.

Nous l’avons ainsi défoncée pendant un long moment jusqu’au moment ou, excités à l’extrême par le contact de nos deux bites à travers la membrane des entrailles de Christelle, nous avons accéléré pour en finir et inonder son cul et sa chatte. Dès le début de cette accélération, Christelle se mit à hurler de plaisir et jouit une nouvelle fois. Je la sentais en complète transe au fur et à mesure que nos deux mandrins s’échauffaient en elle. Puis ce fut l’heureuse délivrance, l’inconnu s’épancha dans les entrailles profondément défoncées de Christelle et de mon côté je sentis enfin mon flot de sperme remplir sa chatte. J’avais l’impression de me vider en elle et que cette éjaculation ne s’arrêterai jamais. J’appréciais en fait ce moment divin, si longtemps attendu ou je pourrais la remplir de mon foutre. Nous sortîmes alors d’elle et nous la regardâmes si belle, dégoulinante de foutre. Elle passait ses mains tour à tour sur sa chatte rasée et sur son cul encore dilaté pour y récupérer notre semence. Elle mettait alors ses doigts à sa bouche pour relécher ce qu’elle avait pu récupérer.

L’inconnu prit alors la parole.

" Attends un peu salope, si tu veux du jus tu n’as qu’à nous laver avec ta bouche et ta langue. Je veux que tu nous fasses reluire. Commence par ton ami, avale tout son foutre et sa grosse queue et après tu viendras me sucer. Je veux te voir t’exciter sur mon gros pieux en me disant qu’il vient de te ramoner ton joli cul de salope. "

A ces mots, Christelle se leva et vint s’agenouiller comme hypnotisée devant moi. Elle acceptait tout ce que nous lui demandions. Je la vis alors prendre ma bite en main et elle commença à la nettoyer avec sa langue. Au bout de quelques minutes d’un travail d’experte en pipes, je commençais à rebander ferme et je voyais bien que Christelle commençait à avoir du mal à me prendre entièrement en bouche. Je pris donc les choses en main en la tenant par la tête. Je commençais alors à me servir de sa bouche comme d’un chatte ou d’un cul.

" Vas-y, ouvre bien la bouche ma chérie " lui criai-je, " je vais profiter de tous tes trous et je vais tous les tremper. Prends déjà ça dans ta bouche et je finirais par ton cul. J’en rêve depuis des années, te prendre par derrière, t’enculer tout en caressant tes jambes et tes bas noirs. Tu vas sentir ce qu’une bite qui se prépare depuis des années peut faire… ".

A ces mots, ma bite se tendit encore plus et un long flot de foutre en gicla recouvrant ses joues, ses lèvres et s’épandant sur sa langue. Avec un sourire divin, je vis Christelle se relécher et avaler toute ma semence. Elle aimait ça et je sus à ce moment que nous n’en resterions pas là après cette journée… Tout à mes pensées et à ma satisfaction, je vis Christelle s’approcher du grand Noir, prendre sa grosse bite en main et commencer le même nettoyage qu’elle venait de me prodiguer.

A la voir une fois de plus avec cette bite noire en bouche en train de la sucer et sachant qu’elle venait juste de l’enculer, mon excitation reprit le dessus. Ma bite à nouveau durcie, je vins me placer derrière Christelle et je dirigeais mon gland à l’entrée de son cul. Appuyant sur son oeillet, je la forçais tout doucement et je voyais mon membre disparaître petit à petit dans son si joli petit orifice. A chacune de mes poussées je sentais que Christelle poussait un petit gémissement qui était étouffé par l’engin noir qui lui déformait la bouche.

Une fois entré totalement, je commençais mes va et vient qui étaient facilités par le sperme qui lui avait précédemment rempli le cul. A chaque fois que ma bite entrait jusqu’à la garde j’avais l’impression de la défoncer sur toute sa longueur. Je sentais mon pieu si loin dans ses boyaux que cela en était divin, je la possédais en totalité.

J’accélérais alors mes mouvements et je voyais ses gros seins aller et venir en cadence. En jouissant une nouvelle fois en elle, je vis que le grand noir éjaculait aussi dans sa bouche et lui maculait le visage et les seins.

Nous venions de baiser une véritable petite salope. Nous la regardions pendant que nous nous rhabillions, elle était en train de lécher le foutre sur ses seins et se caressait la chatte et le cul pour récupérer tout ce qu’elle pouvait. Elle dégoulinait de tous les côtés. Elle était comme je la désirais, belle, nue et pleine de mon foutre.

L’inconnu reprit une dernière fois la parole.

" Voilà ma belle salope, rhabille-toi et décampe avec ton ami. Tu as eu ce que tu voulais voire même plus. Si cela te dit à nouveau, je suis là tous les dimanches de chasse et je suis prêt à satisfaire tous tes fantasmes. Alors… ".

Obéissante à souhait, elle reprit son tailleur et cacha à mes yeux ses jambes, ses seins, son porte-jarretelles et ses bas. Puis nous sommes repartis vers la maison tous les deux, heureux.

Je venais ou plutôt nous venions de passer une après-midi de rêve : j’avais pu baiser la femme de mes rêves, non seulement la baiser mais en plus la posséder et la défoncer par tous les trous. J’étais donc comblé car en plus je savais, grâce aux regards de Christelle pendant que je la baisais et sur le chemin du retour, que j’allais la revoir et cette fois-ci pas seulement pour parler en toute liberté de nos fantasmes mais plutôt pour les mettre en application tous les deux ou bien avec d’autres…

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